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> > 15/01/2014DIFFÉRÉ DES INTERMITTENTS : CONFIRMATION DE SA PRISE EN CHARGE PAR L’ETAT … ET APRÈS ?

Mise à jour le 15 octobre 2014

 

15/01/2014
DIFFÉRÉ DES INTERMITTENTS : CONFIRMATION DE SA PRISE EN CHARGE PAR L’ETAT … ET APRÈS ?

Le gouvernement a enfin fait paraître le décret qui officialise la neutralisation temporaire du différé des intermittents, issu de l’accord déloyal du 22 mars 2014.

A défaut d’avoir créé la mécanique pour enrayer le chômage et la précarité, le gouvernement a inventé la machine à remonter le temps puisque ce décret officialise une mesure appliquée depuis le 1er juillet.

Il est vrai que l’Unedic n’est pas en reste, avec des avenants rétroactifs et des circulaires d’application non encore parues, ce qui promet des recalculs douloureux dans les prochaines semaines. L’Unedic a beau rappeler que 56 % des intermittents ne seraient pas touchés par le différé suspendu, l’organisme omet soigneusement de préciser que seuls 9 % sont concernés par l’ancien différé, qui continue de s’appliquer et que la nouvelle formule neutralisée aurait allongée ce délai avant versement des allocations de 30, de 40 voire de 60 jours pour des salariés percevant seulement 9000 € de salaire annuel !

Nous avions dénoncé dès sa signature les conséquences de l’accord du 22 mars, aggravant la précarité de la plupart des salariés intermittents comme intérimaires, des travailleurs précaires, dans la lignée de la réforme profondément injuste de 2003. Nous continuons la lutte :
- les recours juridiques suivent leur cours, le TGI rendra son jugement le 16 novembre, celui au Conseil d’Etat a été déposé ;
- la concertation a repris, avec les chiffrages des différents projets ; nous exigeons qu’elle débouche sur la prise en compte de nos propositions portées majoritairement depuis des années dans la profession ;
- la mobilisation continue sous diverses formes (participation à la journée d’action pour la protection sociale le 16 octobre – AG unitaire le 20 octobre à Paris …)
Nous ne voulons pas de « statu quo », de « neutralisation », encore moins de chasse aux privés d’emploi, comme l’y invite les propos récents de Manuel Valls et de ses petits soldats libéraux.

Nous voulons une autre politique pour l’emploi et des droits nouveaux, une sécurité sociale professionnelle pour contrer la précarité !

 


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